Les enfants souffrant d’allergie ou d’intolérance alimentaire sont accueillis au restaurant scolaire, dans le cadre du Projet d’accueil individualisé (PAI), signé entre le médecin scolaire, la famille, le directeur de l’établissement et la ville d’Arles. Il faut donc commencer par contacter la direction de l’école.

C’est la famille qui prépare et fournit le repas, selon les conditions sanitaires exigées dans le PAI. Le repas est servi à l’enfant au réfectoire, par le personnel. Les parents qui n’ont pas effectué les démarches auprès de la direction de l’école et du médecin scolaire engagent leur responsabilité. Si vous n’avez pas signé de PAI, aucun autre aliment que ceux fournis par « à table ! » ne sont servis aux enfants pendant le temps du repas.

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• Entrée
• Plat
• Dessert

Bien sûr, la nouvelle structure a mis en place un strict respect des règles de la sécurité alimentaire : la chaîne du froid, la traçabilité des produits, l’hygiène. L’utilisation de produits frais issus de l’agriculture du Pays d’Arles, l’introduction de produits bios se fera de manière progressive.

« Nous ne pourrons pas tout réaliser du jour au lendemain, explique Bernard Jourdan, par exemple, la construction d’une légumerie attenante à la cuisine centrale pour la préparation des légumes frais représente un investissement important qui sera inscrit sur les budgets 2013 et 2014 ».

Environ 4 000 enfants sont inscrits dans les restaurants scolaires d’Arles. En moyenne, 2 800 repas sont servis quotidiennement, ce qui représente 470 000 repas confectionnés pour l’année 2011 dont 80 % pour la restauration scolaire.

Si les écoliers constituent de loin la principale « clientèle » de la restauration collective, ils ne sont pas les seuls : des repas sont livrés au restaurant municipal et universitaire, au Centre communal d’action sociale (CCAS) pour les foyers restaurants, les repas portés à domicile aux personnes âgées.

Le repas des enfants est facturé entre 1 et 3 € selon les revenus du ménage (un tarif inférieur est même en vigueur pour les familles en difficulté qui ont établi un dossier au ccas).
Son prix de revient est estimé à environ 14 € ce qui inclut l’achat des denrées, la confection des repas en cuisine centrale, la livraison dans les 40 lieux de repas, et la rémunération du personnel des restaurants scolaires. l’ensemble des prestations coûte à la commune environ 5,3 M € par an.